Vous le savez mieux que quiconque : en mer comme en gestion, le calme précède parfois la tempête. Mais qu'en est-il de la résilience de votre équipe ? Dans cet article, lui donnerons de la vigueur pour affronter les bourrasques les plus impétueuses, sans perdre notre cap...ni notre humour !
Identifier le cœur de la résilience
Avant de hisser la grand-voile, il s'avère crucial de comprendre ce qui palpite au centre de la résilience. On parle ici de la capacité à rebondir après un grain ; à rester à flot malgré les vagues capricieuses du marché.
Renforcer la communication interne
Une bonne communication, c'est comme une bouée de sauvetage, elle maintient tout l'équipage à la surface. Veillons donc à ce que le dialogue soit plus fluide que l'eau de mer et que chaque marin connaisse son rôle sur le pont.
Cultiver la polyvalence
Dans un équipage, si tout le monde sait tenir la barre, les chances d'éviter le naufrage sont décuplées. Encourageons-nous la polyvalence ? Ou, est-ce que notre second saurait piloter en cas de mal de mer du capitaine ?
Implémenter une culture de feedback continu
À l'instar du sonar qui permet de se réorienter en détectant les masses sous-marines, le feedback continu aide à corriger le cap avant qu'on ne s'échoue sur l'île de l'évaluation annuelle.
Motiver et fidéliser l'équipage
Enfin, fidéliser son équipage, c'est s'assurer que chacun soit prêt à pagayer ensemble lorsque les vents seront contraires. Mais rappelez-vous, l'engagement, ça se cultive avec du rhum... et de la reconnaissance!
Ensemble, nous avons exploré les méandres de la résilience organisationnelle en nautique. Mettez le cap sur ces pratiques, et peu importe la force de la tempête, votre équipage restera soudé comme un banc de poissons.
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